28/09/2021

Soirée & webinaire 56 / L’Irak : un siècle de faillite (de 1921 à nos jours)

Penser la Palestine en réseaux

Par Lina Benchekor – Le concept de « réseau », de plus en plus employé dans les sciences humaines et sociales, n’avait jusqu’ici pas été abordé pour traiter de la question palestinienne. En partant de cette notion, les onze auteurs de cet ouvrage nous donnent à voir la réticularisation de la Palestine sous divers angles, aussi bien à l’intérieur des Territoires palestiniens qu’à l’international.

Webinaire 53 / La destruction de la Syrie (2011-2021)

La Syrie telle que nous la connaissons n’existe plus. Les dix ans de guerre ont profondément modifié le pays et sa société. Leila Vignal interroge à la fois les mécanismes et résultats structurels de cette destruction, qui déchirent le tissue économique et territorial du pays.

5 Questions à… Olivier Roy

Le politologue et spécialiste de l’islam, Olivier Roy, revient dans cet entretien sur les raisons qui ont conduit à la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan.

La destructivité en œuvres…

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Par Racha Abazied – Que peut l’art face à la machine destructive, face aux ravages de la guerre, aux souffrances des victimes ? Presque rien… semble suggérer la profusion d’œuvres lucides nées de cette apocalypse depuis le début de la révolution syrienne en 2011. Mais de ce « presque rien » auquel s’attellent les auteurs de ce brillant ouvrage, a fleuri un foisonnement créatif rarement atteint dans l’histoire de l’art syrien…

Tunisie : le jasmin ne doit pas se faner

Jasmin

Par Álvaro de Vasconcelos – Lorsque, le 25 juillet en Tunisie, le président Kaïs Saïd a orchestré ce qui était, de fait, un coup d’État, le message était clair : le populisme autocratique est une menace sérieuse pour la démocratie. Mais ne nous faisons pas d’illusions, l’avenir de nos démocraties est également en jeu.

Coup d’État constitutionnel en Tunisie : l’échec d’une transition démocratique ?

Par Isabel Ruck – L’annonce du président, qui s’est arrogé le droit de diriger le pouvoir exécutif, a provoqué de fortes mobilisations dans une société civile tunisienne, déjà très clivée. Alors que les slogans contre la politique du parti islamiste, Ennahda, affluent dans les rues, le camp adverse n’était pas en reste pour dénoncer la politique du président et sa « clique », criant au « coup d’État ».