Histoire des minorités dans l’Extrême Maghreb : le cas des chrétiens à l’époque médiévale
De par sa situation géographique, ouverte sur des mondes divers et variés, il a toujours été un carrefour de civilisations et de religions, au premier rang desquelles figurent les trois religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l’islam. Dans le cas de l’Extrême Maghreb (le Maroc), la période médiévale a constitué le creuset de la symbiose de ces religions.
Dissolution de la Knesset : les soupçons de corruption visant Netanyahou pourraient-ils affecter les résultats des élections anticipées ?
Le 26 décembre 2018, le Parlement israélien a voté sa dissolution sous l’impulsion de la coalition au pouvoir et programmé des élections législatives anticipées pour le 4 avril 2019.
Itinéraire de dix universités publiques arabes
Récemment publié par l’Arab Center for Research and Policy Studies, l’ouvrage intitulé Itinéraire de dix universités publiques arabes propose une étude comparative fondamentale des universités publiques du monde arabe. Il passe en revue la condition du corps enseignant, des étudiants et de l’administration dans chacun des pays étudiés, en partant du postulat que la similitude globale de la situation des pays arabes se traduit par une homogénéité de l’état du service public d’enseignement supérieur dans la région.
L’État islamique en Irak et au Levant (Daech) – Tome I
omment comprendre le phénomène de l’État islamique (Daech) ? L’ouvrage est organisé en chapitres qui s’enchaînent au gré du flux de la pensée pour constituer un ensemble à l’intérieur duquel la problématique se déroule par vagues qui se développent et s’entrecroisent, entre interprétation, analyse, conception, questionnement et critique.
Les déterminants de la politique étrangère iranienne
Dans son ouvrage intitulé Déterminants et dimensions de la politique étrangère de l’Iran vis-à-vis des pays du Golfe dans le contexte des pourparlers sur le nucléaire iranien, récemment publié par l’Arab Center for Research and Policy Studies, Aisha Khaled Abdel-Rahman Al Saad se propose d’étudier les facteurs qui déterminent la politique étrangère de l’Iran vis-à-vis de ses voisins membres du Conseil de coopération des États arabes du Golfe, et ce sous trois angles distincts : la dimension locale, la dimension extérieure et enfin celle de la politique identitaire et nationale.
Crise du gouvernement israélien : qui sont les gagnants ?
En novembre 2018, Israël a traversé une crise politique qui a failli entraîner la chute du quatrième gouvernement Netanyahou et fait planer l’ombre d’élections législatives anticipées – élections dont l’échéance est normalement fixée à novembre 2019.
Le Maroc appelle au dialogue avec l’Algérie : contexte et perspectives
La récente invitation faite par le Maroc à l’Algérie à mettre en place un « dispositif commun » en vue d’un « dialogue direct et franc » soulève de multiples questions concernant le calendrier de cette initiative, le contexte dans lequel elle s’inscrit et les perspectives qu’elle ouvre.
Quatre observations sur le passage de l’action politique armée à l’action politique pacifique
Le colloque « Des armes à la paix : transformer l’action politique armée en action politique pacifique », organisé les 3 et 4 novembre 2018 par l’Arab Center for Research and Policy Studies (ACRPS) dans ses locaux à Doha, a débuté par une intervention de Azmi Bishara intitulée : « Quatre observations sur le passage de l’action politique armée à l’action politique pacifique ». En voici le texte intégral.
Élections de mi-mandat aux États-Unis : quelles répercussions ?
Les élections de mi-mandat qui ont eu lieu le 6 novembre 2018 aux États-Unis ont permis au Parti démocrate de prendre le contrôle de la Chambre des représentants. Si le Parti républicain a pour sa part renforcé son contrôle sur le Sénat, la domination qu’il exerçait sur les pouvoirs exécutif et législatif durant ces deux dernières années se voit ainsi limitée.
Fin du consensus politique en Tunisie ?
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a annoncé fin septembre 2018 la fin du consensus avec le mouvement Ennahda en vigueur depuis cinq ans, c’est-à-dire depuis la formation du premier gouvernement après les élections de 2014.