En visant directement les dirigeants du Hamas à Doha, Israël a franchi une étape inédite : attaquer le médiateur qatari lui-même, pourtant acteur central dans les tentatives de cessez-le-feu. Cette agression révèle la volonté du gouvernement Netanyahou d’imposer sa propre équation, quitte à bafouer les règles internationales et à élargir le conflit à l’échelle régionale.
Le mardi 9 septembre 2025, Israël a lancé une attaque contre l’État du Qatar, visant des habitations occupées par des membres du bureau politique du Hamas. L’opération a fait plusieurs victimes : le fils du chef du mouvement dans la bande de Gaza, Khalil al-Hayya, son chef de cabinet, trois gardes du corps ainsi qu’un membre des forces de sécurité qatariennes. Des civils présents sur les lieux ont également été blessés[1].
L’objectif déclaré de cette attaque était d’éliminer les membres de la délégation du Hamas chargés de négocier un cessez-le-feu à Gaza[2]. Ces discussions, organisées sous l’égide du président américain Donald Trump, avaient déjà reçu l’aval d’Israël. Trump avait alors averti : « C’est mon dernier avertissement, il n’y en aura pas d’autre[3] ».
En frappant ainsi, Israël a franchi un seuil inédit : chercher à éliminer les représentants avec lesquels il négociait, tout en attaquant le territoire d’un État médiateur où se tenaient ces discussions. Cette agression, largement condamnée, a suscité un vaste élan de solidarité avec le Qatar, qui accueille depuis près de deux ans des pourparlers destinés à mettre fin à la guerre d’extermination menée par Israël contre la bande de Gaza.
Unité d’analyse politique de l’ACRPS
L’Unité d’analyse politique est un département du Arab Center for Research and Policy Studies (Doha) consacré à l’étude de l’actualité dans le monde arabe. Elle vise à produire des analyses pertinentes utiles au public, aux universitaires et aux décideurs politiques de la région et du reste du monde. En fonction des questions débattues, elle fait appel aux contributions de chercheurs et de spécialistes du ACRPS ou de l’extérieur. L’Unité d’analyse politique est responsable de l’édition de trois séries de publications scientifiques rigoureuses : Évaluation de situation, Analyse politique et Analyse de cas.
Contexte de l’agression israélienne
L’élimination des dirigeants du Hamas a constitué un objectif majeur pour Israël dans la guerre qu’il mène contre la bande de Gaza depuis près de deux ans. Fin novembre 2023, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a annoncé lors d’une conférence de presse avoir donné pour instruction au « Service de renseignement et de missions spéciales » (Mossad) de cibler les dirigeants du Hamas « où qu’ils se trouvent[4] ». Lors de la même conférence, l’ancien ministre israélien de la Sécurité, Yoav Galant, a déclaré que tous les dirigeants du mouvement étaient « condamnés à mort[5] ».
Le 3 décembre 2023, l’ancien chef du « Service de sécurité générale » (Shabak), Ronen Bar, a précisé qu’Israël était déterminé à éliminer les dirigeants du Hamas « partout : à Gaza, en Cisjordanie, au Liban, en Turquie, au Qatar », ajoutant que « cela pourrait prendre quelques années, mais nous serons là pour y parvenir [6]».
Contrairement au retard pris par Israël pour annoncer officiellement l’assassinat de l’ancien chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, le 31 juillet 2024 à Téhéran, et de son adjoint Saleh al-Arouri, tué au début de la même année lors d’un raid israélien sur la banlieue sud de Beyrouth, Israël s’est empressé cette fois-ci de revendiquer ses attaques contre Doha, affirmant avoir pris pour cible des dirigeants éminents du mouvement dans le cadre d’une opération baptisée « Sommet du feu ». Dans un communiqué conjoint avec le Shabak, l’armée israélienne a déclaré que « l’armée de l’air venait de mener une attaque ciblée et précise contre le commandement du Hamas à Doha[7] ». Le communiqué du bureau de Netanyahou a quant à lui indiqué qu’« Israël avait pris l’initiative et mené l’opération, et qu’il en assumait l’entière responsabilité ». La radio de l’armée a également indiqué que l’attaque contre le Qatar avait été planifiée depuis plusieurs mois et que 15 avions de combat avaient participé à l’attaque, lançant plus de dix munitions aériennes et touchant la cible en quelques secondes, avant de retourner en Israël après avoir été ravitaillés en vol[8].
Les motivations de l’agression israélienne
Netanyahou s’est appuyé dans cette agression sur une approche politique, sécuritaire et stratégique qui comprend plusieurs axes principaux :
1. Assassinat des dirigeants du Hamas pour mettre fin à la guerre
Après l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » du 7 octobre 2023, Israël a défini ses objectifs dans la guerre contre la bande de Gaza : éliminer le Hamas, mettre fin à son pouvoir et détruire ses capacités militaires[9]. Il a ainsi adopté une politique d’assassinats systématiques contre les dirigeants du mouvement, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de Gaza. Il a commencé par l’élimination de Saleh al-Arouri à Beyrouth au début de l’année 2024, suivie de celle d’Ismaïl Haniyeh à Téhéran en juillet, puis du chef du bureau politique du mouvement, Yahya Sinwar, en octobre de la même année. Ces assassinats ont visé plusieurs chefs militaires de premier plan, dont le chef d’état-major des Brigades Izz al-Din al-Qassam, Mohammed al-Deif, son adjoint Marwan Issa, le chef des armes et des services de combat Ghazi Abu Tamama, le chef des ressources humaines Raed Thabet, ainsi que le chef de la brigade de Khan Younis, Rafah Salama[10].
Dès le premier jour de la guerre, Israël a bénéficié du soutien des États-Unis, qui considéraient « l’élimination du Hamas » comme un objectif central de leur stratégie dans la gestion du conflit[11]. Cette couverture diplomatique a permis à Israël de poursuivre les assassinats systématiques des dirigeants, sans distinction entre figures militaires et civiles. Netanyahou et son gouvernement ont vu dans l’arrivée de Trump l’occasion de frapper des responsables éminents dans les sphères militaire, sécuritaire et dirigeante, parmi lesquels Salah al-Bardawil, Yasser Harb, Ismaïl Barhoum, le porte-parole Abd al-Latif al-Qanu, Mohammed al-Sinwar, ainsi que d’autres hauts cadres comme Issam al-Daalis, Ahmed al-Hatta, le général Mahmoud Abu Watafa et le général Bahjat Abu Sultan[12][13].
2. Échec de la médiation qatarienne
Depuis octobre 2023, le Qatar tente de mettre fin à la guerre contre Gaza par des efforts diplomatiques continus. Il a organisé des cycles de négociations réguliers, réunissant des responsables israéliens et américains, dans le but d’obtenir la libération des otages et de mettre fin au conflit. La médiation qatarienne, qui a joué un rôle central, a permis la conclusion de deux trêves temporaires et un échange d’otages entre Israël et le Hamas, la première le 22 novembre 2023 et la seconde le 15 janvier 2025[14].
Cependant, le Qatar et sa médiation ont été la cible d’une campagne systématique de dénigrement orchestrée par Israël, visant à faire pression sur le Hamas pour qu’il libère les otages selon les exigences de Netanyahou, qui n’avait pas l’intention de mettre fin au conflit mais plutôt de le prolonger, sans se soucier du sort des otages[15].
Malgré la flexibilité dont a fait preuve le Hamas dans l’examen des propositions des médiateurs pour l’échange d’otages et la cessation des hostilités – la plus récente datant d’août 2025, acceptée après consultation des différentes factions palestiniennes et présentée par le Qatar et l’Égypte – Netanyahou a ignoré cette initiative[16].
En août 2025, le mini-conseil de sécurité israélien (« Cabinet ») a énoncé cinq principes pour mettre fin à la guerre à Gaza, comprenant notamment « le désarmement du Hamas, la restitution de tous les otages vivants et morts, le désarmement de Gaza, le contrôle sécuritaire israélien sur Gaza et la mise en place d’une administration civile indépendante du Hamas et de l’Autorité palestinienne[17] ». Dans les faits, cependant, Israël poursuit systématiquement la destruction de la bande de Gaza, la rendant inhabitable et créant les conditions propices au déplacement de sa population.
3. Achèvement du processus de remodelage de Gaza
La décision du Hamas et des factions palestiniennes d’accepter la proposition des médiateurs concernant l’échange d’otages et la fin du conflit est intervenue environ dix jours après que le cabinet israélien ait, le 8 août 2025, approuvé la préparation de la réoccupation de Gaza[18].
Fin août 2025, l’armée israélienne a déclaré la ville de Gaza « zone de combat dangereuse », annonçant le début des opérations préliminaires et le déploiement massif de forces à ses abords. Quelques jours plus tard, le ministre de la Sécurité, Yisrael Katz, a validé l’opération « Chars de Gédéon II », prolongement la première « Chars de Gédéon » de mai 2025[19].
Malgré l’accord de principe du Hamas, Netanyahou a poursuivi son plan de destruction, de déplacement et de réoccupation de Gaza. L’agression contre le Qatar s’inscrit dans cette logique de pression maximale pour éliminer les dirigeants du Hamas et imposer le désarmement, le déplacement de la population et la réoccupation, ou au minimum, imposer une nouvelle logique de négociation sous menace.
Israël affiche ouvertement son projet de remodeler la géographie et la structure sociale de la bande de Gaza, dans le cadre de ce qu’il appelle ses plans pour « le jour d’après » à Gaza. Ces derniers jours, l’armée a intensifié ses opérations dans les parties est et nord de la ville, détruisant systématiquement bâtiments et tours, et poussant les habitants vers l’ouest grâce à des « robots explosifs » transportant des tonnes d’explosifs, pour les concentrer vers le centre et le sud de la bande[20].
Le 7 juillet 2025, Katz a annoncé un plan de création d’une « ville humanitaire » dans le sud de Gaza, à Rafah. Dans les faits, il s’agit d’un vaste complexe de confinement, comparable à un camp de concentration, destiné à regrouper la population palestinienne dans un espace restreint, avec des tentes, des centres de distribution de nourriture et des installations médicales de base[21].
4. Affichage de puissance et message de dissuasion régional
Par son agression contre le Qatar, Israël cherche à affirmer sa domination et restaurer son image après le revers subi lors de l’opération « Déluge d’Al-Aqsa ». Cette action envoie un avertissement clair à l’ensemble des pays de la région : Israël se montre capable de frapper n’importe quelle cible où qu’elle se trouve[22].
En juin 2025, Netanyahou a déclaré qu’Israël « changeait le visage du Moyen-Orient[23] », exprimant ainsi sa volonté d’imposer une domination absolue, soutenu par l’administration Trump et facilitée par l’incapacité des États arabes et régionaux à s’y opposer, sans considération pour la souveraineté nationale ni le droit international.
Les répercussions de l’agression israélienne
L’agression israélienne contre le Qatar aura des conséquences significatives sur l’avenir de la médiation et sur la fin de la guerre à Gaza, d’autant que Netanyahou et son gouvernement exploitent chaque blocage dans les négociations pour avancer leur projet de réoccupation de Gaza. Eyal Zamir, chef d’état-major général, a approuvé de nouveaux plans pour les étapes suivantes de la guerre dans la ville de Gaza, en coordination avec le commandant de la région sud et plusieurs autres commandants[24].
L’armée a donné de nouvelles instructions aux habitants de Gaza, leur enjoignant d’évacuer et de se diriger vers le sud de la bande de Gaza, en particulier ceux vivant dans les quartiers de la vieille ville et de Tuffah, à l’est, jusqu’à la mer à l’ouest, via l’axe Al-Rashid vers ce que l’armée désigne comme une « zone humanitaire » à Al-Mawasi, au sud de Khan Younis[25].
Avec l’échec initial de l’attaque contre la direction politique du Hamas à Doha, il n’est pas exclu qu’Israël renouvelle ses tentatives. Après l’agression, de nouvelles menaces ont été émises pour poursuivre les dirigeants du Hamas « où qu’ils se trouvent ». Le 10 septembre 2025, Yisrael Katz a déclaré : « La politique de sécurité israélienne est claire : la main longue d’Israël agira contre ses ennemis où qu’ils se trouvent, ils n’ont nulle part où se cacher »[26].
Cette déclaration a suivi l’affirmation de l’ambassadeur israélien aux États-Unis, Yehiel Leiter, selon laquelle si Israël avait manqué certaines cibles au Qatar, elles seraient atteintes « la prochaine fois », les membres du Hamas figurant sur la liste des cibles « partout et à tout moment »[27].
Ces événements montrent que l’agression israélienne et les politiques du gouvernement d’extrême droite de Netanyahou risquent de ne pas se limiter aux frontières de Gaza, du Liban et de la Syrie, mais de s’étendre au reste de la région. Cela explique les condamnations internationales massives qui ont suivi immédiatement l’attaque contre le Qatar et la grande solidarité dont ce dernier a fait l’objet. Une telle attaque constitue une violation flagrante de la souveraineté des États, augmente les risques d’escalade et élargit le conflit régional[28].
Conclusion
Depuis octobre 2023, Israël a fait de l’élimination des dirigeants et négociateurs du Hamas, tant à Gaza qu’à l’étranger, un objectif central de sa guerre d’extermination, sous prétexte de leur participation à la planification ou à l’exécution d’attaques contre l’État israélien.
L’attaque contre les dirigeants du Hamas à Doha s’inscrit pleinement dans cette logique : affaiblir le mouvement, neutraliser ses cadres, réduire son pouvoir et sa capacité militaire, tout en sabotant toute médiation susceptible de mettre fin au conflit. Cette stratégie impose une nouvelle réalité : toute négociation avec les dirigeants du Hamas à l’étranger se fait désormais sous la menace constante de leur assassinat.
Par ailleurs, cette opération visait aussi à démontrer la capacité de l’État israélien à frapper n’importe quelle cible dans la région, renforçant son image de puissance militaire dominante et envoyant un message de dissuasion aux pays arabes et voisins.
Face à cette situation, une réaction ferme des pays arabes et musulmans s’avère indispensable pour mettre fin à l’impunité israélienne, dont les conséquences menacent désormais la sécurité et la stabilité de l’ensemble de la région.
Notes
[1] « Ministère de l’Intérieur qatari : un membre des forces de sécurité tué lors de l’agression israélienne contre Doha » (en arabe), Al-Arabi Al-Jadid, 09/09/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/5n8e2ysf
[2] « Hamas annonce que sa délégation à Doha a échappé à une tentative d’assassinat israélienne » (en arabe), Al Jazeera Net, 09/09/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/mr2e8hk8
[3] « Trump : dernier avertissement à Hamas pour qu’il accepte mes conditions concernant Gaza » (en arabe), Al-Araby Al-Jadeed, 07/09/2025, consulté le 10/09/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/2unywjvc
[4] « Avant l’accord de libération des otages, Netanyahu a déclaré que le Mossad avait pour ordre de cibler les dirigeants du Hamas partout dans le monde » (en arabe), The Times of Israel, 27/11/2023, consulté le : https://tinyurl.com/ytatnmx2
[5] Ibid.
[6] « In Recording, Shin Bet Chief Vows to Kill Hamas Chiefs ‘in Lebanon, Turkey, Qatar’ », The Times of Israel, 04/12/2023, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4epkc5tt
[7] Naif Zidani, « Radio de l’armée israélienne : l’agression contre le Qatar était planifiée depuis plusieurs mois » (en arabe), Al-Araby Al-Jadeed, 9/9/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/3csvtjen
[8] Ibid.
[9] « La guerre israélienne contre la ville de Gaza : ses objectifs et ses résultats attendus » (en arabe), ACRPS, 02/11/2023, consulté le 10/09/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/zyyk5fny
[10] « Al-Qassam annonce la mort de son chef d’état-major Mohammed al-Deif » (en arabe), Al-Jazeera Net, 30/01/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/45mmbsu9
[11] « La position de l’administration Biden face à l’agression israélienne contre la bande de Gaza : contexte et calculs » (en arabe), ACRPS, 24/10/2023, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4h3wj25x
[12] « Dirigeants gouvernementaux assassinés par Israël après la reprise de l’agression contre Gaza » (en arabe), Al Jazeera Net, 18/3/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/mw94u49d
[13] Nancy Moussa, « Infographie : les principaux dirigeants du Hamas assassinés par Israël après la reprise de la guerre contre Gaza » (en arabe), Al Jazeera Net, 27/3/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4vc2mrew
[14] Pour plus d’informations sur la campagne israélienne contre le Qatar et son rôle dans la médiation, voir : « La campagne israélienne contre le Qatar pour son rôle dans le soutien à Gaza et l’arrêt de la guerre » (en arabe), ACRPS, 23/2/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/379p64jb
[15] Ibid.
[16] « Hamas accepte une proposition d’accord à Gaza… et Trump incite Israël » (en arabe), Al-Araby Al-Jadeed, 18/8/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/3hy95vxp
[17] « Les 5 principes annoncés par Netanyahou pour mettre fin à la guerre à Gaza… Voici lesquels » (en arabe), CNN 08/08/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4fcm887p
[18] « Israël… Le cabinet donne son feu vert à Netanyahu pour prendre le contrôle de la ville de Gaza malgré l’opposition interne et externe » (en arabe), CNN 08/08/2025, consulté le 10/09/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4emfy2w5
[19] Naif Zidani, « Katz approuve le plan d’occupation de la ville de Gaza sous le nom de Gadon 2 » (en arabe), Al-Araby Al-Jadeed, 20/8/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/5fdvpfk3
[20] Mohamed Majid et Ramzi Mahmoud, « Des robots explosifs… une arme israélienne pour raser Gaza et déporter ses habitants (rapport) » (en arabe), Agence Anadolu, 05/09/ 2025, consulté le 10/09/025, à l’adresse : https://tinyurl.com/3h7yr7pp
[21] Yasser Manna, « Des camps de détention collective sous le nom de « ville humanitaire » ! », Centre palestinien d’études israéliennes « Madar » (en arabe), 21/7/2025, consulté le 12/8/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/47rj9ycz
[22] « Opération Déluge d’Al-Aqsa : l’effondrement de la stratégie israélienne envers Gaza », ACRPS, 12/10/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse :https://tinyurl.com/4sa99wxv
[23] « Netanyahu : tuer Khamenei « mettra fin au conflit » et Israël « changera le visage du Moyen-Orient » grâce à ses frappes contre l’Iran » (en arabe), France 24, 16/6/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/yzjsdfku
[24] « L’armée israélienne : nous suivons de près le changement de l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient » (en arabe), Al-Sharq Al-Awsat, 10/9/2025, consulté le 10/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/n63fp5ay
[25] « L’occupant ordonne à tous les habitants de Gaza d’évacuer et bombarde les maisons de la ville » (en arabe), Al Jazeera Net, 09/09/2025, consulté le 10/09/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/4cw77mpu
[26] « Israël menace de poursuivre les dirigeants du Hamas où qu’ils se trouvent » (en arabe), Al-Sharq Al-Awsat, 10/9/2025, consulté le 11/9/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/mr2b435k
[27] Ibid.
[28] « Condamnations internationales et onusiennes de l’attaque israélienne contre le Qatar » (en arabe), Al Jazeera Net, 09/09 2025, consulté le 11/09/2025, à l’adresse : https://tinyurl.com/bdevczfd