Projection-Débat / « Chroniques algériennes » : un regard poétique sur le Hirak
Projection du film de Zak Kedzi, suivie d’un débat avec le réalisateur et avec Gaëlle Hemeury, chercheuse, le 8 février dans le cadre du Cycle consacré au Hirak.
Du Hirak aux élections : un bilan de l’année 2019 en Algérie
Le présent rapport dresse un bilan de ce mouvement populaire dans son rapport à l’Etat, notamment aux trois institutions-clés du pouvoir en Algérie : la présidence de la République, l’armée et les services de renseignement. Mais aussi dans ses rapports aux différentes forces politiques et sociales (quel rôle ont-elles joué dans le Hirak ? Quelles pressions sont-elles susceptibles d’exercer sur le pouvoir à l’avenir pour influencer sa politique ?), au contexte économique dans lequel le mouvement populaire a vu le jour et s’est développé, à la question Amazighe que le pouvoir a cherché à instrumentaliser et enfin aux acteurs internationaux alors que les grandes puissances ont adopté une position commune consistant à ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de l’Algérie.
L’après-Bouteflika : les perspectives de changement démocratique en Algérie
Le 2 avril 2019, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a remis sa lettre de démission au président du Conseil constitutionnel, Tayeb Belaiz, en présence du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah. Cette décision a mis fin à près de deux semaines de conflit entre le commandement militaire, mené par le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah, et la présidence de la République et son entourage, appuyés par les Renseignements généraux et leur chef, le général Athmane Tartag (dit Béchir).