« Printemps arabe » an VI : retour à la « case départ » ?
Année après année, depuis qu’en décembre 2010, dans les profondeurs d’une province tunisienne, à Sidi Bouzid, le suicide d’un jeune oublié du droit à une vie décente a cristallisé un mécontentement populaire aussi ancien et profond que multiforme, il devient de plus en plus difficile de faire un bilan du « printemps arabe ».