16/03/2021

Salam Kawakibi, invité de l’émission Cultures Monde consacrée à la Syrie

émission radio

L’impossible réforme de l’appareil sécuritaire syrien

barrage syrie

Par Salam Kawakibi – Les premiers mois du règne de Bachar al-Assad furent accueillis avec l’espoir d’une réforme générale de la Syrie, et de son appareil sécuritaire en particulier. Ce désir de transformation, que partageaient la communauté internationale et la population syrienne, s’évanouit à la suite de l’assassinat du Premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005.

Liban : qui conseille Emmanuel Macron ?

Liban

Par Salam Kawakibi – Les Libanais ne s’y sont pas trompés : même pour les moins sceptiques d’entre eux, la France n’est pas fidèle aux promesses faites par son président au Liban après l’explosion qui a ravagé le port de Beyrouth le 4 août dernier.

Webinaire 7 : Comment l’Occident a volé la démocratie aux Arabes

Dans le cadre des webinaires du Carep Paris, voici la 7e rencontre avec Elizabeth F. Thompson, modérée par Salam Kawakibi sur le thème : Comment l’Occident a volé la démocratie aux Arabes : le Congrès syrien de 1920 et la destruction de l’alliance historique entre libéraux et islamistes. Diffusion le 3 juillet 2020, à 18h30.

Webinaire 6 : Loi César : du nouveau pour la Syrie ?

Dans le cadre des Webinars du CAREP Paris, voici la sixième rencontre avec Salam Kawakibi, modérée par Isabel Ruck, diffusée en direct le 26 juin 2020 à 18h30 sur le thème : La loi César : du nouveau pour la Syrie ?

Printemps arabe : méta-facteurs de transformation de l’ordre politique (2011-2020)

Par Julien Théron et Salam Kawakibi – Si les différentes trajectoires transitionnelles entamées par les pays du Maghreb et du Moyen-Orient depuis 2011 relèvent chacune d’un contexte profondément national, elles s’inscrivent aussi dans un mouvement régional d’émancipation ancré dans l’histoire du monde arabe. Les trajectoires qui s’y dessinent sont à la fois spécifiques et collectives, et motivent une part d’inspiration mutuelle entre pays en révolution, qui donne au printemps arabe une dimension indéniablement transculturelle et universelle.